Bilan de l'APP : une ouverture au monde de la recherche scientifique

 « plus que jamais, l’école doit ouvrir au monde, inviter, les jeunes à se frotter à des projets divers » Cédric Villani, interview LeMonde

                L’action pédagogique pilote « Education à l’Environnement et Entomologie en Ethiopie » a rempli ses objectifs pédagogiques en proposant des actions qui s’inscrivent dans une logique de sciences participatives. L’émulation affichée par les participants, montre que responsabiliser les élèves en les considérant comme des « étudiants-chercheurs », permet de donner du sens à la réalisation des tâches complexes : « réaliser un inventaire des communauté d’insectes », « réaliser un SPIPoll », « mener des enquêtes sur l’évolution des risques liés aux maladies transmises par les glossines »…

DES TACHES VARIEES : Collecte d'insectes à partir de piège lumineux classique / Identification d'insectes à la loupe binoculaire / Classement et comptage d'insectes / Observation et étude du développement des pupes de glossines
                Ainsi, les productions liés au projet sont uniques (du point de vue scientifique via la rencontre avec un chercheur) et diffusibles (du point de vue éducatif via la rédaction d’articles sur un blog).
                Les principales productions des élèves correspondent à :
- Une collection d’insectes, triés par ordres, conservée dans l’éthanol en bocaux labellisés
- Une collection de photographies d’insectes, identifiés par ordre, avec le relevé des conditions environnementales associées (lieux, fleurs, météorologie…)
- Des présentations power-points pour communiquer les résultats devant les pairs en situation de séminaire
- Des articles scientifiques mutualisés avec utilisation d’un espace numérique de travail.


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