vendredi 13 janvier 2017

Évolution biologique de la mouche Tsé-tsé avec le réchauffement climatique


Article rédigé par : Melat Sentayehu, Natan Worku, Yoseph Wondossen de la classe de 2°1

Sujet : Évolution biologique de la mouche Tsé-tsé avec le réchauffement climatique


D’après la conférence que nous avons bénéficié au Lycée Guebre Mariam, nous élève de 2°1, avons appris que les mouches Tsé-tsé étaient les espèces qui ont causé la maladie du sommeil. Notre groupe à choisi de faire une recherche sur leur évolution biologique avec le réchauffement climatique.

En réalisant des recherche on a pu trouvé que selon une étude réalisée par des chercheurs américains et se fondant sur les scénarios élaborés par les climatologues, l’augmentation de température au cours du prochain siècle va modifier l'aire de répartition du parasite et du vecteur, provoquant un accroissement du nombre de cas au sein de la population africaine. Au fur et à mesure que la température augmente, l'aire de répartition des glossines risque également de se déplacer, selon les auteurs, en particulier du nord de L’Afrique vers le sud de l'Afrique. En outre, le réchauffement climatique pourrait favoriser les épidémies. Le décalage de l'aire de répartition va donc provoquer l'infection de nouvelles personnes .

 En plus que cela le réchauffement climatique élargissant la zone d'influence de la mouche tsé-tsé, vecteur de la maladie, selon une étude publiée aujourd'hui et le réchauffement climatique pourra favoriser et raccourcir leur temps de fécondation, voulant dire qu’il y aura plus de mouche Tsé-tsé qu’il y a eu au part avant.

Source : http://fr.slideshare.net/happpppy/trypanosomoses-africaine-et-amricaine-2

La répartition actuelle des mouches tsé tsé:


La ligne en trait plein correspond a la limite approximative entre la forme occidentale (gambienne) et la forme méridionale (rhodésienne). Autrefois de grandes épidémies de la forme gambienne ont sévi dans la région du lac Victoria. Sur la carte on peut voir que les régions en bleu sont en une crise épidémique.Les régions qui sont en blanc ne sont pas en danger car ils sont des pays saharienne et les mouches tsé tsé ne sont pas habituer


Forme gambiennes pourraient revenir jusqu’au lac Victoria

Forme gambienne et rhodésienne pourraient gagner vers le Sud avec des régions qui deviendraient moins froides (actuellement : L'extrémité méridionale des zones à glossine du Sud du Mozambique, du Zimbabwe, du Botswana, du sud de l'Angola et de la Zambie, connaît de longues périodes de froid. Ces pays ont des hivers longs et froids, où il gèle souvent, qui ne conviennent guère aux glossines. )

Forme rhodésienne pourraient gagner les hauts-plateaux est africains et de nouvelles vallées en accédant à de nouveaux cours d’eau prégnant leurs sources en altitude (actuellement : Les hautes terres plus au nord sont également dotées d'un climat trop froid pour que la tsé-tsé puisse survivre; c'est le cas par exemple des hauts plateaux du Kenya et d’Éthiopie ainsi que le long des lignes de partage des eaux des bassins fluviaux.)

Forme rhodésienne pourraient gagner également vers le Nord et développer des foyers déjà existant au Yémen et en Arabie Saoudite.

Source : http://www.fao.org/docrep/009/p5178f/P5178F06.htm#ch5.5

En conclusion on pourra dire que le réchauffement climatique aura un très grande impact sur l'environnement actuelle et cela porte un très grand dangers pour les hommes est femme qui vive en Afrique du nord car la mouches tsé-tsé sera favoriser par le réchauffement climatique.

Source internet : http://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-maladie-sommeil-genome-mouche-tse-tse-decrypte-53497/

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